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Par volubillis le 20 Septembre 2013 à 16:28
Durant tous ces mois, nous avons successivement travaillé la forme et l'esprit, l'atmosphère et la palette, la matière et le drapé, la figure et le corps...
Il réunit tous ces paramètres à lui seul :
Bouddha est donc, pour un temps, descendu de son buffet faire à l'Atelier un peu de théâtre.
Matières difficile à cerner et à rendre, palette douce de bruns et de bronze, lumière dure ou diffuse et drapé soyeux...
Nous avons retrouvé les difficultés d'hier à saisir sous d'autres angles.
Chacun faisant ce qu'il porte en lui, nous avons vu naître cent visage du Bouddha...
Tous différents, tous beaux.
Pour connaître les dernières facéties du lutin de l'Atelier, c'est ici.
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Par volubillis le 8 Septembre 2013 à 18:59
Il fallait oser : mettre un chou en vedette et dessiner autour de lui prunes, courgettes, concombres et pâtissons.
Oser savourer la lumière au travers des textures et des formes.
Oser se laisser traverser par la poésie d'une composition toute en rondeurs.
Regarder les choses comme des oeuvres d'art.
Se laisser attendrir par un panier plein de poésie cachée.
Puis oser peindre avec les doigts, avec l'éponge, pour trouver comment rendre ces textures et ces ombres si particulières que la nature multiplie à l'infini.
Oser regarder.
Oser le faire.
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Par volubillis le 16 Juillet 2013 à 13:39
Le Pinceau magique nous a inspirés. (Voir l'article : le-pinceau-magique)
L'Atelier s'est transporté dans le monde de la transparence, des belles soies de Chine et des couleurs coulées.
Après des études sur papier, les palettes sont devenues plus riches et les pinceaux chinois ont pu oeuvrer comme par magie.
Rendant chaque motif comme vivant.
Ne demandez pas pourquoi ils peignaient tant les oiseaux. Tant de transparence et de légèreté donne l'impression qu'on pourrait s'envoler.
Libres de tout.
En accord avec le vent.
Et de fait, c'est bien ce qui est arrivé...
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Par volubillis le 20 Juin 2013 à 18:16
De retour au même endroit, mais cette fois, d'après photo.
Il fallait reprendre l'ouvrage, le repenser, lui redonner des lignes de force et une vraie composition, bref, recommencer.
Nous avons donc retravaillé "depuis l'intérieur", en ressentant mieux les écueils possibles et les valeurs.
L'architecture (sans stress) est une bonne planche de travail pour capturer les lignes, les rues sont toujours tirées à quatre épingles, les fenêtres ne louchent pas. La perspective est toujours plus facile à comprendre lorsqu'on dessine des murs.
Notre pigeonnier du Quercy nous aura aidés à mieux voir. Les rues des métropoles à retrouver le plaisir de dessiner.
Et maintenant, si on ajoutait la lumière ?
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