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Vibration couleur
Avant même que ne sonne le glas de la rentrée, nous avons commencé à travailler le paradoxe de la complémentarité.
Tout à la lumière de cette fin d'été, naturellement, les dominantes ont accueilli la surprise.
Au cœur de la couleur, non révélée encore, attend patiemment une petite touche de subtile différence.
Pour approcher la magie des complémentaires, le mieux est d'y aller tout doucement au début.
Et même si l'amoureuse est encore timide, petit à petit, elle trouve sa place et ajoute à l'oeuvre la lumière qui lui manquait.
C'est comme ça dans la nature, le rouge velours d'une rose puise sa force de son écrin vert... et les deux se magnifient.
(De nombreuses autres peintures attendent leur tour pour poser devant l’œil du photographe (qui n'a pas que ça à faire, je vous le dis !) bien sages sur leur chevalets, mais elles arrivent, patience...)
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Commentaires
Ça valait le détour, ne serait-ce que pour honorer l’œil aiguisé du maître-photographe qui n'a pas que ça à faire aussi !
Et pour avoir la preuve de la réussite éclatante ou moins selon le dosage en intensité de la touche complémentaire. Ici la touche complémentaire orange (jaune+rouge) bien dosée, fait fortement vibrer les bleus, c'est moins vrai pour le vert (bleu+jaune) et sa touche rouge pas assez intense.